Alors que l’hypothèse d’un retrait total des troupes françaises du Mali se précise à l’Elysée, les autorités de transition au pouvoir à Bamako ont poursuivi, lundi 7 février, l’escalade verbale avec Paris.

Après l’expulsion, fin janvier, de l’ambassadeur de France à la suite des propos jugés «hostiles et outrageux» de Jean-Yves Le Drian sur le caractère «illégitime» de la junte, le premier ministre, Choguel Maïga, a accusé la France d’œuvrer à la «partition» de son pays. Agence

 

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