La présidente brésilienne Dilma Rousseff a affirmé mardi à Brasilia que sa destitution porterait préjudice à la « stabilité politique du Brésil », lors d’une conférence de presse réservée aux correspondants étrangers.
« Elle n’apportera pas de stabilité politique au Brésil parce que c’est une rupture avec la base de la démocratie », le respect du suffrage universel, a déclaré l’impopulaire dirigeante de gauche.
Les députés brésiliens se sont prononcés largement dimanche en faveur de la destitution de la présidente de gauche, accusée de maquillage des comptes publics, lors d’une séance historique et survoltée. Le prochain et ultime vote est prévu au mois de mai prochain au Sénat. Avec Agence
AlloConakry