La Commission européenne a communiqué jeudi ses griefs aux groupes pharmaceutiques américain Johnson & Johnson et suisse Novartis, qu’elle soupçonne de s’être entendus pour retarder la mise sur le marché aux Pays-Bas d’un médicament générique.
Il s’agit de la deuxième phase de l’enquête de la Commission, ouverte en octobre 2011, concernant le fentanyl, un analgésique plus puissant que la morphine. Agence