Selon Bloomberg, Barrick a accepté de verser 430 millions de dollars dans le cadre de cet accord, ce qui lui permettra de reprendre le contrôle opérationnel du complexe de Loulo-Gounkoto et de retirer ses demandes d’arbitrage.
Bloomberg a rapporté que Barrick a déclaré que Bamako abandonnerait toutes les charges retenues contre l’entreprise et libérerait quatre de ses employés emprisonnés.
Les deux parties étaient en désaccord sur l’application du code minier de Bamako de 2023, qui accorde au Mali une part plus importante des revenus tirés de l’exploitation aurifère. La junte militaire malienne, à l’instar de nombreux gouvernements du continent, cherche à obtenir une part plus importante des revenus issus des ressources minérales du pays, dans un contexte de hausse des cours de l’or.















