Le vice-président sud-africain Cyril Ramaphosa, qui négocie avec le controversé président Jacob Zuma son départ anticipé, a reconnu dimanche que son parti était en proie à la « désunion », mais a « promis un nouveau départ », assurant que « les personnes corrompues seront jugées ».
« Alors que nous émergeons d’une période de difficultés, de désunion et de discorde », le centenaire de la naissance de Nelson Mandela, célébré cette année, « nous offre un nouveau départ », a estimé Cyril Ramaphosa lors d’un meeting au Cap (sud-ouest). « Nous continuerons à combattre la corruption et à nous assurer que ceux qui sont corrompus et ont volé l’argent des pauvres sont jugés », a-t-il ajouté, alors que le président Zuma est empêtré dans plusieurs scandales de corruption. Agence
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