Lavrov fabiusC’est le chef de la diplomatie russe qui l’a déclaré mardi à Paris, à l’issue d’entretiens avec son homologue français, M. Laurent Fabus dont le pays défend au contraire un texte prévoyant des « conséquences » pour le régime de Damas en cas de non-respect de ses obligations.

 

« La résolution qui devra approuver la décision de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques ne sera pas sous chapitre 7 (de la charte de l’ONU, NDLR), nous l’avons dit clairement à Genève », a souligné le ministre Sergueï Lavrov, en ajoutant que son pays a des « raisons sérieuses » de croire que l’attaque chimique du 21 août près de Damas était une « provocation ». Avec Agence

 

 

 

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